La maison de mes parents en campagne est bien froide quand j'y pénètre en ce premier samedi de septembre. Mes parents, qui ne doivent arriver que le lendemain, devant rendre visite à une vieille ami  chez qui je n'ai aucune envie de passer la nuit, ont accepté que je reste seule ce soir chez eux, en attendant leur retour !

J'allume une bougie, un encens... la maison redevient accueillante, et presque douillette. Je peux alors me déshabiller et, après ma douche, vêtue d'une courte nuisette, je m'installe sur leur canapé.

 J'allume la tv, et je cherche une chaîne intéressante, en vain.. je plonge dans mon téléphone, sur une vidéo que mon homme m'avait envoyé: un trio coquin où la femme se fait prendre par deux hommes.....

     Depuis plusieurs heures, un désir lancinant de me masturber me tenaille, plus précisément depuis que j'ai croisé dans le train le regard d'un bad boy mal rasé, un voyou d'une trentaine d'années, mais très craquant, qui m'a fait mouiller abondamment.

     Ce soir, devant cette video...,je ne sais pas pourquoi, je repense à ce mec pour bander. Les pointes de mes petits seins, que j'agace de mes doigts humectés de salive, sont toutes dures, exactement comme mon clitoris.

     Depuis que j'ai commencé à faire l'amour, d'abord avec ma copine Sofia,  quand j'étais petite dans cette même maison, à l'âge de quinze ans, puis avec plusieurs mecs de passage, j'avais oublié que cette maison m'inspirait autant de désirs.... et ca fait resurgir à ma mémoire des images bien troublantes et excitantes...............

     Tandis que mon doigt glisse avec assurance entre mes lèvres bien souples et brûlantes, je pense à Jacques, mon dernier voisin, que j'ai quitté quelques jours auparavant en d'assez mauvais termes, mais que j'espère néanmoins retrouver bien vite.

     Jacques, qui sait si bien lécher mon adorable petit cul, comme il l'appelle...  j'aime tant la saveur de sa splendide queue épaisse...  

     A ce souvenir, mon doigt glisse imperceptiblement de ma chatte vers mon petit trou. Toujours dans le canapé,  j'écarte mes fesses de mon autre main. Après m'être un instant caressée le périnée, j'atteins l'orifice froncé. Son humidité me surprend.

     Bien avant que je ne l'autorise à me pénétrer par cette voie, Jacques m'a fait découvrir l'extrême sensibilité, que je ne soupçonnais pas auparavant, de cette partie de mon anatomie. L'esprit envahi par l'image de ce papi qui m'excitait tant.

Je me branle maintenant le cul. D'abord, comme s'il était la langue de Jacques, mon index explore consciencieusement la minuscule pastille.

     Sur mon téléphone, une nana hurle son plaisir d'offrir son anus à deux mecs incroyablement membrés. Subjuguée par ce spectacle, je glisse, presque sans m'en rendre compte, sur le tapis qui recouvre le sol du salon et me positionne à quatre pattes.

     Ainsi, les reins cambrés, mon fessier s'épanouit de lui-même et je peux m'introduire aisément un doigt. Mon excitation monte encore d'un cran quand je me rends compte que sur mon téléphone, je vois cette femme, hurler de plaisir pendant que son cul est rempli par deux bites.

je m'enfile moi-même deux doigts.

     Je n'ignore évidemment pas l'existence de la perversion à laquelle j'assiste sur mon téléphone, mais j'aime ca. 

     Très vite, sous l'effet du vigoureux massage que j'inflige à mon cul, mes gémissements rejoignent en intensité ceux qui me parviennent par le haut-parleur de mon téléphone et je jouis quand la salope reçoit sur son visage le flux torrentiel du foutre mêlé des deux mecs.

     Evidemment épuisée par toutes ces émotions, je plonge bientôt dans un sommeil profond, peuplé, comme il se doit, de rêves sensuels. Mais mon repos est de courte durée : un bruit violent, comme les vitres d'une fenêtre que l'on brise, me réveille en sursaut.

     Toute tremblante - je n'oublie pas que je suis toute seule dans cette immense maison -, je me lève et me dirige vers l'escalier qui mène au rez-de-chaussée.

     Mon oreille ne m'a pas trompée : au pied d'une fenêtre du salon j'aperçois en effet du verre brisé ; il est hors de doute qu'une ou plusieurs personnes ont pénétré dans la maison, qu'ils pensaient probablement inoccupée. Que dois-je faire ?

     Il me vient alors à l'esprit que mon père a dissimulé dans un tiroir du buffet de la pièce où je me trouve une arme, un pistolet, je crois, en prévision d'une visite nocturne de ce type. En quelques secondes, je m'empare de cette arme, dont le contact me rassure, même si je ne suis pas certaine d'être capable de m'en servir.

     Des bruits de meubles renversés m'informent que les intrus sont maintenant dans la chambre de mes parents, de l'autre côté du couloir. Sans bruit, je traverse celui-ci. Par l'embrasure de la porte, je distingue deux ombres dans l'obscurité. Quand mes yeux s'habituent à l'obscurité, j'aperçois les cambrioleurs : deux mecs : un blanc et un noir, très baraqués.

     - Mettez les mains en l'air ! dis-je d'une voix forte, qui fait sursauter les voleurs.

     Croyant d'abord à une plaisanterie, ils se figent quand ils aperçoivent mon pistolet. Il n'en reste pas moins que je suis une femme et très vite le Noir retrouve son assurance et m'interpelle :

     - Allons, ma jolie, ne fais pas de bêtises... Pose ce joujou !

     - Certainement pas ! Sachez que je n'hésiterai pas à m'en servir, s'il le faut.

     Je songe alors que je dois m'assurer que les deux rigolos ne s'échappent pas, le temps que je prévienne la gendarmerie, et je leur ordonne :

     - Enlevez vos pompes et vos pantalons ! désapez vous !! allez  !!!

     - Quoi ???

     - Allez !!!! plus vite que ca !!

     Avec un empressement qui pourrait être comique si la situation n'était pas si grave, les deux voleurs se déshabillent maladroitement. Quand ils ont terminé, j'exige qu'ils remettent les mains en l'air.

     A mon immense surprise, je me rends compte que mes prisonniers se sont permis d'avoir une érection

Il est vrai que je porte toujours ma petite nuisette légère,  et les mecs ont une vue imprenable sur mon anatomie.

     Cet état est plus visible chez le Blanc, qui porte un slip moulant, tendu à craquer par sa bite. Le Noir, quant à lui, est vêtu d'un caleçon qui dévoile moins ses attributs, mais dont je devine qu'ils sont plus considérables encore. Poussée par une envie irrépressible, et encouragée par le fait que je suis en position de force, je les somme d'enlever également leurs sous-vêtements.

     - Mais enfin, tu es folle ou quoi ? m'interroge l'immense Noir.

     Mais son copain lui conseille, avec un drôle d'air, de m'obéir. Les pines splendides qui m'apparaissent achèvent de me faire perdre la tête. Le Blanc, conscient que l'avantage vient de changer de camp, m'interpelle :

     - Elles sont belles, nos bites, n'est-ce pas ? Mais si tu veux continuer à les admirer, il va falloir que tu sois bien gentille. Comment tu t'appelles, au fait ?

     - Julie, réponds-je d'une voix troublée par l'émotion.

     - Alors, Julie, tu vas commencer par poser ton flingue. Et tu vas vite m'enlever ta nuisette.

     Totalement subjuguée par le désir de m'emparer de leurs deux queues, je m'exécute. Tandis que je me dénude, les mecs prennent leurs bites en main, décalottent leurs glands, et commencent à se branler.

     - C'est bien, Julie. Tu sais ce que l'on va faire, tous les trois ? continue le type.

     - Non ?

     - On va se donner du bon temps, et on te promet de ne pas te faire de mal, et même de s'en aller sans rien emporter. Tout le monde sera gagnant, comme cela, tu ne penses pas ?

     - Oui, je suis d'accord ! 

     Sans plus de formalité, je m'approche des deux pines tentatrices, que j'empoigne d'un geste décidé. J'embrasse à tour de rôle les deux malfaiteurs et je masturbe en même temps leurs bites. Elles sont toutes deux d'une taille appréciable, mais je suis plus bouleversée encore par celle du black dont ma bouche s'empare bien vite.

     Pendant un long moment, j'hésite à avaler tout entier ce membre démesuré, et je me contente d'en pourlécher l'énorme gland, afin de me familiariser avec sa taille. Quand le mec en a assez de mes léchouillages, il s'empare de mes cheveux et d'un geste assuré, bien que sans méchanceté, il m'oblige à l'emboucher en totalité. Jamais évidemment je n'en ai eu une aussi grosse dans ma bouche, et il me faut quelques interminables secondes pour m'y accoutumer. Quand c'est chose faite, je jouis du rare plaisir d'avoir entre les lèvres cet incroyable morceau de chair.

     De temps à autre, il me faut tout de même me consacrer à l'autre malfrat, mais sa bite, bien que de dimensions respectables, ne peut se comparer à celle de son copain, vers laquelle je retourne bien vite. Le Blanc finit donc par se lasser et, à mon intense satisfaction, vient s'occuper de mon entrecuisse dégoulinant.

     Je n'attends aucune délicatesse de ce malfaiteur, mais je suis tout de même un peu surprise quand il m'enfonce d'un coup, sans préparation, son majeur tout au fond du con, dieu merci abondamment lubrifié par ma mouille. Il en va tout autrement de mon anus, dans lequel le mec introduit bientôt de la même façon son doigt.

     - C'est super, Tomy, il est vachement serré. On va bien se marrer, quand on va la prendre tous les deux en même temps, la petite salope !

     - Tu as raison, Jimmy... Prépare-la moi, je veux l'enculer, pendant que tu la baiseras.

     Ces paroles m'emplissent de sentiments très contrastés. D'un côté, je commence à prendre un peu peur de la tournure que prennent les événements. Je comprends en effet que les deux bandits sont décidés à jouir au maximum de mon corps et que cela pourrait tourner mal si jamais je me rebiffais. Mais d'un autre côté, un sentiment de plénitude m'envahit à l'idée d'être bientôt labourée par les queues d'acier des deux mecs, et c'est celui-ci qui prédomine, et de loin.

     Mais, pour que les choses se passent au mieux, je dois reprendre le contrôle de la situation. Précisément, Jimmy ne parvient pas à s'introduire entre mes fesses, qu'il a pourtant largement ouvertes.

     - Putain, elle est trop serrée, j'y arrive pas ! 

     - Tu n'as qu'à forcer, ça va bien finir par passer.

     - Non mais ça va pas ! lèche moi le cul, et ca rentrera !! oh les mecs...!!! me faite pas mal merde !!

     Un instant décontenancé par cette injonction, le mec finit pourtant par obtempérer. Sa langue râpeuse est maladroite dans mon cul, mais mon désir est si intense que bien vite je m'épanouis. En outre, je ne perds pas de vue que je vais dans peu de temps être défoncée par l'énorme queue de Tomy, et qu'il en conséquence vital que l'action de son complice soit efficace. C'est pourquoi je me permets de temps à autre de conseiller le cambrioleur empoté, plus à l'aise sans doute pour faire s'ouvrir les coffres-forts que les anus !

     - Ecarte-moi bien les fesses... Maintenant, lèche la petite rondelle ... Pas trop vite. Oui, comme cela c'est bien !

     Le type comprend, à mes gémissements, que j'apprécie à leur juste valeur ses progrès et, s'enhardissant, il introduit le bout de sa langue dans mon tunnel resserré.

     Cette vicieuse incursion me conduit à cambrer les reins et à soulever ma croupe. Jimmy comprend que le moment est venu et il vient placer son gland tout contre mon anus humide. Je m'attends à ce qu'il m'encule tout de go, mais il se contente de faire aller son instrument entre mes fesses satinées, se révélant ainsi meilleur amant que je ne l'avais pensé au départ.

     En effet, ce petit jeu a pour effet d'enflammer plus encore mes sens, et j'en viens à supplier mon tentateur de m'enfiler enfin. Le calibre de son membre se révélant assez semblable à celui de Marc, avec lequel mon petit cul est si familiarisé, il peut dès le premier assaut me le mettre tout au fond, ce qui m'arrache un soupir de contentement.

     Pendant que je prodiguais mes conseils avisés à mon futur enculeur, il va de soi que j'ai dû délaisser un moment la monumentale pine du Noir, me contentant de l'astiquer de ma main, des couilles jusqu'au gland. Quand il se rend compte que son copain est bien en place, Tomy me prend avec rudesse la tête entre ses mains, qu'il plaque aussitôt contre sa queue. Je me retrouve à la hauteur de ses bourses velues, qui ont durci spectaculairement sous l'effet de mes caresses manuelles. Le type sursaute quand je les effleure du bout de ma langue.

     - Oh oui, continue, poupée ! Tu sais pas ce qu'elle est train de me faire, Jim ? Elle est en train de me lécher les couilles ! On me l'avait jamais fait... Quel âge tu as, Julie ?

     - 44 ans, parviens-je à balbutier, entre deux gémissements.

     - Oh, la petite garce. En plus, on a affaire à une vieille, c'est génial. Et pour toi, Jimmy, elle est bonne ?

     - Elle est super, tu veux dire ! Elle me fait du bien à la bite,  putain, tu peux pas savoir. Elle est serrée juste ce qu'il faut, ça va être un régal pour toi, mon pote. Tiens, prend ça, salope !

     Les deux mecs me traitent comme une vraie chienne, et le pire, c'est que je justifie totalement cette attitude, agitant le plus que je peux ma croupe sous l'effet du pilonnage de Jimmy, et engloutissant en totalité l'immense bite de Tom.

     - Bon, ça suffit comme ça, déclare bientôt celui-ci. Maintenant, je vais te prendre aussi! File-moi la place, Jim ...

     A cette annonce, les battements de mon cœur s'accélèrent. Dès qu'il est ressorti de mon cul, Jimmy s'allonge sur le sol, et il m'attire rudement au-dessus de lui.

     Mais je n'ai pas l'intention de me livrer sans résistance aux fantaisies des deux mecs, et je décide de me livrer à un de mes amusements préférés : tout en branlant de ma main droite la queue de Tomy, que je gratifie d'un petit coup de langue lorsqu'il s'approche de moi, je m'empare de la pine de l'autre mec, que je frotte délicatement contre la peau de mon entrecuisse et puis contre les lèvres en feu de mon sexe dégoulinant de cyprine.

     - Oh la pute, elle est en train de me branler avec sa moule ! 

     - Eh bien, Julie, on dirait que tu as fait cela toute ta vie ! apprécie Tomy, en connaisseur. Mais si mon pote a envie de t'enfiler, tu as intérêt à obtempérer !

     Il assortit cette dernière réflexion d'une retentissante claque sur mon fragile arrière-train. Sous l'effet de ce geste, je m'empale brusquement sur la queue de Jimmy, qui pousse un soupir de soulagement. Le Noir, quant à lui, m'introduit d'un seul coup son majeur dans l'anus, qu'il fait aller et venir sans aucune douceur, me donnant ainsi un aperçu de la double pénétration que je désire. Tandis qu'il se masturbe de son autre main, il m'insulte copieusement :

     - Je sens que tu as envie de ma grosse bite, petite garce. Mais je suis pas certain de vouloir t'enculer. Je vais peut-être juter sur ta jolie gueule, à la place ! Est-ce que tu es vraiment assez salope pour que je te prenne bien le cul???

     - Oh si, encule-moi ! je suis une putain, une vraie chienne, m'écrie-je, suppliante, afin de tenter de le fléchir.

     Je sais que j'y suis parvenue quand je sens l'énorme sexe de tomy remplacer son doigt à l'entrée de mon petit trou. Fort heureusement, mon enculeur n'est pas un sadique, et, même s'il me prend sans tendresse, il a la délicatesse de m'enfiler en deux temps, d'abord son gland démesuré, qui me déchire la rondelle et m'arrache un cri, puis le reste de sa grosse bite qui coulisse avec moins de problèmes.

     Je n'en reviens pas de la facilité avec laquelle j'ai accueilli ces deux sexes ! 

     Depuis qu'il m'a pénétrée, le Noir a pris le contrôle de notre copulation ; il s'est emparé de mes hanches et à grands coups de reins donne le rythme de la chevauchée commune. Tandis que son pote martyrise comme une brute mon petit anus, il se permet de pincer cruellement les bouts de mes seins fragiles et continue de me traiter de tous les noms. Tout se passe comme si les deux mecs tenaient entre eux une discussion dont je serais l'objet unique, et dans laquelle les mots de salope, vicieuse, chienne, reviennent le plus souvent. Le terme qui me trouble le plus est celui de " pute ", car j'ai conscience qu'il est parfaitement justifié : ne me suis-je pas vendue à ces deux mecs en échange de leur promesse de ne pas cambrioler la résidence familiale ?

     La douleur initiale a laissé place en moi à la joie intense de sentir mes orifices comblés par les deux énormes mandrins. Pourtant les deux malfrats ne me ménagent pas, surtout Tom, dont la pine coulisse sans égard dans mon trou du cul, rendu plus étroit encore par la présence de Jimmy.

     Les grossièretés dont m'abreuvent les deux mecs, au lieu de me révolter, ont pour effet, moi qui suis habituellement plutôt réservée pendant l'amour, de m'arracher des insanités plus perverses encore que les leurs, du style :

     - Allez-y, espèces de salauds, c'est bon ! Défoncez-moi, éclatez-moi le cul, j'aime ça ! Prenez-moi comme une pute...

     Les deux types sont incroyablement endurants, et je commence à penser que nous sommes tous les trois soudés les uns aux autres, pour une éternité de jouissance, quand je sens enfin les signes d'un dénouement proche, à l'accélération du pilonnage de mon cul et de mon con.

     - Je veux boire vos foutres, donnez-moi vos queues, j'ai soif putain!!!

     Les malfaiteurs ne se font pas prier et, bientôt, je suis allongée sur le lit, deux sexes au-dessus de mon visage avide, que leurs propriétaires masturbent habilement.

     Quand le déluge commence, je me rends compte que j'ai été un peu inconsciente d'offrir ma bouche menue au flot de leurs foutres, que très vite elle ne parvient plus à contenir. Je dois alors à mon grand regret fermer mes lèvres et tandis que je déguste en connaisseuse le nectar que je suis parvenue à absorber, du sperme bien chaud continue à dégouliner sur mes joues, mon menton, et même mes seins, dont les salauds se servent sans vergogne pour essuyer leurs pines gluantes.

     Cette séquence achevée, les mecs se sont rhabillés sans un mot et repartis,et m'ont donné leur promesse de ne pas cambrioler la maison.

Je m'endors comme une masse, repue de plaisir, prenant tout juste le temps de revêtir ma nuisette déformée et d'aller dans ma chambre. Je pense à mes parents qui me retrouvent le lendemain midi,  anxieuse de mon sort, avec le verre brisé dans le salon.

     Le lendemain, après une nuit on ne peut plus.. humide...tandis que je me remémore les événements bouleversants de la nuit, je me taille un joli succès auprès de mes parents en leur racontant une histoire abracadabrante, dans laquelle je fais preuve d'un courage prodigieux en faisant fuir à moi toute seule les méchants cambrioleurs à l'aide du pistolet de mon père.

Ma mère, ahurit devant mon récit , a été à la pharmacie pour me ramener un calmant aux plantes pour que j'oublie cette histoire !!!

 

     La pauvre, si elle savait...