Une envie de me détendre en forêt m'interpelle en ce dimanche matin, d'automne.

Je me décide d'enfiler mes tennis, de prendre ma voiture et d'aller au devant d'une foret.

bon, un peu imprudente,car nouvelle sur Paris, je ne connais pas encore bien les lieux dits tranquilles..sans risque ..

allez, je me fis à mon instinct!!

Après avoir tournée une bonne demi heure, je suis éloignée de Paris, j'ai trouvé un coin, selon moi, tranquille, et calme, dans le Nord Est de Paris.

loin de la civilisation et de la pollution.

je garde ma petite voiture, je découvre qu'il y a quelques voitures deja sur ce parking sableux, mais au contraire, je pense que ca me rassure un peu.

je m'enfonce sur une allée dégagée, je contemple les arbres et cette verdure qui danse au ryhtme du petit vent qui venait me caresser mes cheveux.

j'étais vraiment très bien.

j'avais envie de m'exhiber .. comme à chaque fois que je suis en foret!

mère nature m’appelle comme ci je devais retrouver cette ère primaire..

mais il faisait assez frais, et je n'avais pas forcément envie d'attraper une pneumonie..

je marchais deja depuis plus d'une demi heure, j'allais faire de mi tour, quand j'entendis des gémissements en fait.

je ne savais pas encore distinguer!

des cris, des pleures, des gémissements humains ou animals

j'avais mon cœur qui s'est emballé, car je n'étais pas forcément toute prête de ma voiture .

J'essayais d’écouter plus attentivement pour savoir d'ou venait ce bruit.

je m'approchais selon moi vers le lieu un peu hésitante de ce que je pouvais y voir, ou découvrir.

selon, moi, il n' y avait plus aucun doute, cétait des gémissements de plaisir.

je me faisais donc discrète, comme une voyeuse qui ne voulait pas se faire découvrir!

j'avais envie de voir la raison de ces soupirs.

et ..la.. je vis de loin, un homme , les bras au dessus de sa tete, collés à un gros arbre. Son pantalon était bessé jusqu'aux chevilles, un jean , je crois.. je ne vois pas très bien.

IL avait ses fesses cambrées.. et mon dieu, oui.. il recevait bien une bite d'un autre homme qui lui était encore habillé, il avait juste sa bite de sortie.

Il lui prenait son cul sans trop de férocité, mais j'imagine qu'ils prenaient du plaisir en entendant leurs gémissements.

mon dieu, j'avais envie de me masturber tellement la scène  peu probable, était excitante.

Les deux mecs s'enfilaient comme deux amants. Je voyais le le mec sortir des fesses de son receveur, se reculer et observer ces fesses (ou son petit trou) comme s'il observait un tableau et qu'il l'admirait!

il était maintenant sortit de lui .. et je le vis, s'approcher avec sa bouche de son petit cul.

je pense qu'il devait lui bouffer l'anus, puis ses bourses, car le receveur se cambrait pour tout lui offrir.

cette image était vraiment étourdissante, je métais meme pas rendu compte que depuis quelques temps, j'avais déjà posé mes doigts sur mon clitoris gonfflé de plaisir et que je me branlais devant cette scène.

franchement, ils prenaient du plaisir tous les deux, aucun doute.

le mec se recula, le receveur se tourna, s'appuya le long de cette arbre et se retrouva le membre raide devant son sodomiseur.

sa bite était longue et fine.

je la voyais vraiment bien.

Son copain s'approcha pour lui lécher d'abord son bout.. et lui avala goulûment tout son membre, je vis le receveur pencher sa tête en arriere, punaise, il prenait vraiment un pied terrible!

Je mouillais comme une chienne, qui regardait un film porno longuement choisi.

Je me rendais compte de ma perversité et de mes gouts sexuels peu communs mais j'écoutais à cet instant ce que cette scène me provoquait!

Et sans me mentir, j'étais vraiment excitée de voir cet homme se faire enfiler et sucer par son "pote".

car en fait, si ca se trouve, c'est peut etre un lieu de rendez vous pour "échanges gay.. peu importe, j'étais complétement emportée par cette vision!

le mec tapait fort maintenant les fesses de son receveur!

il tenait sa bite en main et lui faisait des va et vient, en se masturbant dans son cul de petit gay.

Putain, c'était trop bon.. 

a ce moment la, je jouis, je lâchais une giclade de cyprine comme si je pissais tellement ma jouissance était longue et puissante.

je me suis posée la question si je devais les remercier, mais j'ai préféré repartir, respectant leur moment et je pense que j'avais déjà assez profité de cette vision non conforme.

 

J'ai regagné ma voiture et dorénavant, je retournerai dans ce bois !!!.

Julie.