En vacances depuis peu, je me rendais 15 jours dans mon pays basque  pour me ressourcer.

C'était un jour de semaine et le peu de circulation était essentiellement constitué de routiers. Il faisait chaud et j'appréciais de conduire tranquillement sans trop de monde sur la route.

J'aime bien rouler seule, avec en fond un peu de musique et mon homme en sms où je lui dis parfois mes coquineries que je fais en roulant..

comme fait voir mes seins .. ou me caresser....

..

     Doublant un poids-lourd je fus accueillie par un concert de klaxon au moment où j'arrivais à hauteur de la cabine.

 

Amusée je terminai mon dépassement pour m'apercevoir que le chauffeur, sans doute émoustillé par la vue de ma petite robe d'été, continuait ses manifestations par des appels de phares.

Le fait d'exciter ainsi un inconnu fit naître en moi le désir de prolonger le jeu.

Je me laissai rattraper par le camion qui me doubla en trombe. 

     Je restai derrière lui, le temps que passent quelques voitures qui roulaient a vive allure puis, j'entamai à nouveau la manœuvre qui allait m'amener à coté du routier. Pour lui donner de nouvelles raisons de s'allumer je retroussai ma robe sur le haut de mes cuisses de manière à lui dévoiler mes jambes.

Comme je m'y attendais il me fit un accueil plutôt bruyant alors que je stabilisai ma vitesse  à la hauteur de sa cabine.

Il devait être fou et cela me plaisait, m'excitait même!

Je passai une main sur mon corps, mes jambes, ma poitrine, mes cheveux.

J'imaginais l'état dans lequel il devait se trouver le pauvre.

Je fus ramenée à la réalité de la route par les appels de phare d'une grosse berline noire visiblement pressée, que je n'avais pas vu arriver.

Je fus donc obligée de dépasser le poids lourd pour la laisser passer.

Ayant attendu que la circulation le permette, le gros camion libéra toute sa puissance pour doubler à nouveau mon petit véhicule que j'avais maintenu a peu de distance devant lui.

Cette fois je voulus lui jouer le grand jeu. Je baissai les bretelles de ma robe exhibant ainsi les tétons  de mes seins qui bandaient.

Ca m'excitait comme une petite garce !!.

Arrivée à sa hauteur il exprima à nouveau tout le désir qu'il éprouvait et la frustration qu'il devait ressentir.

Mes doigts que je faisais promener sur ma poitrine et qui pinçaient mes tétons, n'arrangeaient probablement rien !

     Une fois de plus les exigences de la circulation m'obligèrent à me soustraire à ses regards.

J'imaginais déjà ce que j'aurais pu lui proposer au prochain passage lorsque ses klaxons se firent à nouveau entendre derrière moi.

Ses phares me lançaient des flashes comme pour me dire de ne pas m'éloigner, et je vis qu'il avait mis son clignotant.

En effet la signalisation indiquait une aire de repos à 2 km. La proposition était claire! Jusqu'à présent nous nous étions amusés à distance, cette fois il désirait aller plus loin! Je n'avais encore jamais eu ce genre d'expérience.

Allais-je assumer mon rôle d'allumeuse jusqu'au bout? Je me sentais fébrile, puis, comme si elle obéissait à une volonté extérieure, ma main glissa sur la commande du clignotant. Je réduisis ensuite mon allure pour m'engager sur l'aire de repos, le routier juste derrière moi.

     ---

     L'aire était, comme nous l'espérions, déserte. J'avançais dans l'entrelacs du circuit de parking pour arriver à l'emplacement réservé aux poids-lourds. Le semi-remorque stoppa à coté de ma voiture .

Prenant une inspiration je sortis de ma voiture et, arborant mon plus innocent sourire, je saluai le chauffeur du gros engin. Il était bien comme je me l'imaginais d'après les rapides coups d'œils que j'avais eu de lui en voiture. Fort, moustachu, sa silhouette semblait à l'image de son camion, j'espérais que le reste l'était aussi...

 

     Il m'invita à monter dans sa cabine et j'acceptai gaiement, en étant toutefois un peu nerveuse. J'escaladais le marchepied et m'installai dans le large siège à coté de lui. Il faisait frais grâce à la climatisation. Je retirai mes lunettes de soleil et il me complimenta sur ma silhouette et mon sourire de coquine.

     - Vous devez vous trouver bien seul à toujours être sur les routes ( je tremblais ..)

     - Ah ben ça, c'est sur qu'on a pas tous les jours l'occasion d'avoir une si agréable compagnie

     Mon cœur s'accélère et ma retenue n'est qu'à moitié feinte. Je trouve le souffle de lui répliquer:

     - Et... que faites-vous lorsque vous en avez une?

     Le routier eut un sourire qui me fit frémir.

Pour toute réponse il tendit la main qu'il passa derrière ma nuque et m'attira à lui.

Fermant les yeux, sa main glissa sur mes jambes, dont il apprécia la douceur, remontant jusque sur le haut de mes cuisses elle passa ensuite sur ma poitrine, pressant mes tétons qui bandaient toujours.

 

Il se mit à me caresser ma chatte dégoulinante, au travers de ma dentelle.. je ne devais pas trop réfléchir à son hygiène etc...

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     Avec une délicatesse qui m'étonna de la part de cet ours, il fit tomber les bretelles de ma robe révélant mon buste aux seins dressés. Il joua avec mes mamelons, entraînant des gémissements de ma part.

 

Je tendis la main vers son pantalon et je tâtais l'entre-jambes. La perspective de s'envoyer une inconnu lui faisait de l'effet. j'étais complètement apeurée !!.

Il dégrafa sa braguette et plongea sa main dans son pantalon pour en sortir l'objet de ma curiosité.

Il décida alors de m'enfoncer son gros doigt dans mon entre jambe, et sans cesser de me doigter; il me saisit le poignet et guida ma main de sorte que je puisse me rendre compte de son désir.

 

     J'ouvris les yeux et tentai de regarder ce que je faisais. Je n'en croyais pas ma main!

Mes doigts avaient du mal à en faire le tour et l'amplitude de mes mouvements de bas en haut indiquaient une taille hors du commun! Constatant ma surprise il desserra son étreinte pour me permettre de contempler à mon aise ce qui faisait sa fierté visiblement à cet ours, sacrément bien monté ...

  

     - Elle est belle hein? elle te plait ??

 

     Je répondis par un simple hochement de tête. Il sembla à la fois amusé et excité de mon air encore ébahi et innocent. La main derrière ma nuque me fit courber le buste, dans une attitude qui ne laissait pas de doute sur son envie. Il ajouta néanmoins:

     -" Fais-lui un bisou ma belle.prend la en bouche.. "

 

     Sans hésiter je fermai à nouveau les yeux et me laissai entraîner, la bouche ouverte, à la rencontre de son désir.

Mes lèvres humides accueillirent en premier son gland rosé que mes manipulations manuelles avaient décalotté. Il grogna de plaisir et me laissa le loisir d'y répandre ma salive avec ma langue ajoutant ainsi un certain plaisir auditif à celui du contact de lèvres fraîches sur la partie la plus sensible de son anatomie. Peu à peu je le fis pénétrer plus loin, plus profond dans ma bouche, jusqu'à ce qu'il se loge au fond de ma gorge. Je le tenais pressé entre mon palais et ma langue, serré par l'anneau de mes lèvres. J'entamais alors un lent va et vient.

Mes doigts caressaient doucement le reste de ses attributs dont la taille était en rapport avec ce que j'avais en bouche hummmmm.

Lui n'était plus que râles et grognements, ses doigts caressant mes cheveux.

Je sentis alors une main glisser sur mon dos, retrousser les pans de ma robe et découvrir mes reins. 

 

     J'alternais maintenant les mouvements de piston dans ma bouche avec des intermèdes où mes lèvres papillonnaient tout autour de cet obélisque de plaisir dont le bout de son gland, laissait maintenant perler une rosée transparente que ma langue lapait avec avidité.

 

De ma bouche grande ouverte mes gémissements jaillissaient sans contrainte, et sans retenue, au rythme auquel ses doigts fouillaient mes replis humides à la recherche de mes zones les plus sensibles.

 

     J'avais recommencé à le prendre tout entier dans ma bouche quand il ficha un doigt dans l'orifice auquel je m'attendais le moins. Il me doigtais mon anus et j'aimais ca !!.

 Je me cambrai. Il s'attendait à cette réaction, sa main me maintenait vigoureusement la tête au niveau de son bas-ventre et la présence ferme de son doigt dans mon petit anus, me dissuadait de changer de posture.

Il me calma avec des mots très doux mais j'entendais son excitation derrière son discours rassurant. Je repris la stimulation buccale que j'avais interrompue tandis qu'il faisait vibrer son doigt stimulant mon petit orifice d'où irradiait lentement une sensation douce et profonde.

     Bientôt je sentis que son plaisir n'allait plus tarder. Sa respiration se faisait plus rapide, saccadée, ses doigts se crispaient dans mes cheveux et la main frottant ma petite chatte remplie et dégoulinante de cyprine.. accusait un mouvement plus rapide et plus ample, claquant mes fesses à chaque mouvement.

Je sentais mon intimité s'ouvrir et s'humidifier de plus belle sous l'effet de cette fessée pénétrante mais aussi à la perspective de le recevoir dans ma bouche.

Son langage sans aucun tabous, résonna en moi pour amplifier mon  plaisir. 

 

"T''aime ca, petite pute ? !!"

.................................................ca m'excitait !! 

 

Pendant que j'avalais son gros gourdin en bouche, son doigt  se planta aussi profondément que possible en moi. Il me traita de "petite salope" et m'ordonna de "tout avaler", son foutre gicla dans ma bouche, couvrit mon palais, bondit dans ma gorge, mes lèvres serrées autour de sa grosse bite laissèrent toutefois échapper des filets de son plaisir qui engluèrent mes doigts. "Avale!, avale!" 

Je me préparais à tout recevoir, à tout avaler... gourmande comme je suis !. j'allais rien laisser..

   

 Il jouit violemment en me traitant de "bonne petite pute", sa bite giclait !!.

je l'ai regardé, ma robe encore relevée, ma chatte toute humide...et poisseuse...mais tellement heureuse de lui avoir donné ce plaisir.. qui ne serait peut être jamais prêt à revivre et moi, d'avoir été jusqu'au bout de la petite allumeuse que j'étais.....

 

je le regardais, et je lui fis un signe de tête, comme quoi, je devais repartir.. il me remercia encore complètement étourdi et ivre.

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     Une heure s'était écoulée depuis que nous étions entrés sur cette aire de repos. Lorsque je regagnai ma voiture je remarquai que d'autres automobilistes s'étaient arrêtés là également. Certains me lancèrent des regards méprisants me prenant sans doute pour une fille de mauvaise vie faisant commerce de son corps.

Amusée et heureuse, j'ai regagné ma voiture, repris ma route, et j'ai pris soin de laisser ma petite culotte en souvenir à ce camionneur plein de savoir-faire.... au membre goûteux et aux dimensions à me faire encore frémir...

 

Julie.